Dans la vie de tous les jours, celle du commun des mortelles, il n’est pas rare d’entendre les proches, les amis, les voisins ou les collègues pousser des grands soupirs, prendre de grandes respirations et dire tout haut qu’ils sont vidés, fatigués, sans énergie, etc. En tant que spécialiste, on parle « d’asthénie générale ».
D’un point de vue organique, ce phénomène se caractérise principalement par de la fatigue et une diminution de la force. Il y a également un manque de réaction aux stimulations de la vie en général. Les origines de cet état peuvent être maladives, nerveuses, endocriniennes et même psychologiques (psychose, névrose, psychasthénie, dépression). Sur le plan émotionnel, on constate que ces personnes qui présentent les signes d’une asthénie générale refusent, dans une certaine mesure, la vie qu’elles mènent. Elles ne trouvent aucune motivation pour agir, elles sont découragées avant même d’avoir commencé ce qu’elles ont à faire.
Il va sans dire que pour approfondir l’analyse psychosomatique de cet état asthénique, il faut bien sûr tenir compte des origines pathologiques éventuelles que l’on peut constater chez le sujet en question.
Sur ce, que vous soyez ici en Floride, au Québec ou quelque part au Canada, je vous souhaite d’être heureux et en santé.
Extrait de mon livre « Les maladies et leurs émotions » aux Éditions de Mortagne, Boucherville, Qc. Canada (pages 80-81-82). En vente en librairie et sur Amazon.