Tous le reconnaissent maintenant. Donald Trump n’est pas un conservateur traditionnel. Il semble n’avoir aucun regard pour personne, pas même pour Wall Street qui l’a pourtant aidé à bâtir son empire immobilier.
Il menace les plus riches de hausser leurs impôts, il s’en prend à la Chine et au Mexique pour leurs pratiques commerciales, il dénonce la cupidité des banquiers, dénonce les salaires exagérés des chefs d’entreprises, bref, il sonne l’alarme partout où il jette le regard.
Puisqu’il est « unique » en son genre, imprévisible et que rien ne semble l’ébranler, il attire plusieurs citoyens dégoutés de la politique actuelle.
Toutefois, il fait trembler les grandes institutions financières, Wall Street et toute la famille des républicains conservateurs au pays.
La bourse réfère à Trump en tant qu’un électron libre porteur d’incertitudes. Exactement ce que l’Institution déteste. La crainte actuelle au sein du parti républicain c’est qu’un vote pour Trump représente en bout de ligne, un vote pour Clinton.
La Floride bouillonne en prévision du vote pour les primaires du 15 mars prochain.
La poussière est maintenant transformée en vase.
Reste à voir qui s’enlisera le plus profondément!