C’est en fait une notion toute à fait relative, car elle va être différente quand on parle d’un point de vue santé et de bien-être ou tout simplement d’esthétique. Il va donc exister plusieurs façons d’évaluer un poids idéal. Notons cependant que toutes les formules n’ont de valeur que si le sujet a entre 18 et 65 ans, s’il n’est pas un athlète ou encore enceinte…
-L’indice de masse corporelle ou IMC : C’est l’approche la plus connue et elle permet d’évaluer globalement les risques de santé associés à un état général de maigreur ou de surpoids.
En complément à cet IMC, on peut déterminer un résultat plus personnalisé en fonction du sexe, de l’âge, de la morphologie ou encore de l’ossature. Les trois principales méthodes étant :
-La formule de Creff : Elle inclue la notion d’âge, de taille et de morphologie générale. Le poids idéal va différer selon que le sujet est « mince », « normal» ou « large ». Ainsi le poids idéal d’une personne « mince » sera diminué de 10 % alors que celui d’une personne « large » sera augmenté de 10 % par rapport à une personne dite « normale ».
-La formule de Monnerot-Dumaine : prend en compte en plus de la taille, la masse musculaire et l’ossature. Un bon « indicateur » de l’ossature et de la masse musculaire dans le poids total d’un individu est la mesure de la circonférence du poignet.
-La formule de Lorentz : Par le fait qu’elle ne tient compte que du sexe et de la taille, elle est peu fiable et peu utilisée.
En final, il faut savoir que toutes ces méthodes d’évaluation ne peuvent avoir qu’une valeur indicative et que rien ne remplace un avis médical, ni même sa propre appréciation de bien-être.
Sur ce, que vous soyez ici en Floride ou au Québec, je vous souhaite d’être heureux et en santé.
