Le mot « hypnotisme » apparait dès 1820 dans les travaux d’Étienne Félix d’Henin de Cuvillers. Il est repris très rapidement par les chercheurs et les scientifiques dont le médecin français Jean-Martin Charcot qui en 1878 lui donne une place particulière avec l’hypnose thérapeutique en l’utilisant dans son service de l’hôpital de la Salpêtrière de Paris pour traiter des cas d’hystérie. Notons qu’à cette époque il avait parmi ses élèves le fameux Sigmund Freud qui utilisera l’hypnose dans ses séances.
Un champ d’intervention très large
Il faut savoir que l’expérience hypnotique d’une personne dépend avant tout de sa personnalité, de la méthode employée, de la profondeur de l’induction hypnotique, et principalement des suggestions qui lui sont faites. Il est notoire que l’hypnose se caractérise chez les individus par une réduction du champ de conscience plus ou moins marquée, résultat d’une « hyperfocalisation » induite par une tiers personne qui le déconnecte de la réalité environnementale sans pour autant l’en dissocier.
L’hypnose est utilisée de différentes manières comme l’auto-hypnose, le « training autogène » la « sophrologie », la relaxation et autres formes, comme par exemple l’hypnose permettant de créer des spectacles tous plus amusants les uns que les autres en faisant faire des choses un peu folles à des personnes connues pour être responsables et rationnelles.
Sur ce, que vous soyez ici en Floride ou au Québec, je vous dis à la prochaine en vous espérant heureux et en santé!