Nous sommes rendus à l’ère du numérique et du virtuel depuis quelques années. La pandémie du coronavirus a accéléré le processus vers une numérisation complète dans bien des domaines. Il est vrai que les documents papier existent encore, mais leur disparition semble inévitable.
Même si la tablette a gagné en popularité depuis plusieurs années, un bon livre reste une expérience sensorielle intéressante, tout comme les disques de vinyle, qui semblent retrouver un second souffle.
Mais qu’en est-il pour les documents des assurances voyages ? Est-ce qu’une confirmation numérique est suffisante ou si nous devrions tout de même conserver un document papier ?
Dans la pratique, une simple confirmation électronique est suffisante. En autant que vous ayez en main votre numéro de police et le numéro à téléphoner en cas d’urgence; tout est beau.
Chez MédicFlorid International, nous sommes prudents. En plus du format numérique, nous préférons faire parvenir aux clients les documents en format papier ainsi qu’une carte plastifiée. Pourquoi ? Notre travail en assurance est de « prévoir l’imprévu ».
Évidemment, nous espérons que vous n’ayez pas à vous servir de votre assurance et que vous passiez un superbe hiver au soleil. Mais, nous ne savons jamais à quel moment votre assurance vous sera utile.
Nous ignorons également quel sera la gravité de l’urgence médicale et il est possible que vous ne soyez pas en mesure d’ouvrir votre téléphone. Plusieurs raisons peuvent rendre plausible cette affirmation. Il se peut que vous soyez trop faible, inconscient, ou que votre téléphone soit tout simplement hors d’usage ou déchargé !
Il vous sera donc beaucoup plus facile de gérer cette situation d’urgence en ayant la carte plastifiée avec vous. Vous, ou vos sauveteurs, aurez alors un accès rapide au numéro à composer en cas d’urgence ainsi qu’au numéro de police pour procéder à l’ouverture du dossier de réclamation.
Si vous avez des questions ou aimeriez de l’information sur un sujet précis, n’hésitez pas à communiquer avec nous. Il nous fera plaisir de développer le sujet dans une prochaine chronique.
Bon retour en Floride !
