En un quart de siècle, les allergies saisonnières de type respiratoire sont devenues présentent dans la vie de plus du tiers de la population des grands centres urbains. En règle générale, l’hypothèse environnementale est retenue pour expliquer la constante augmentation des rhinites et des allergies respiratoires. Que ce soit les acariens, les moisissures, les poils d’animaux ou encore les pollens qui soient à l’origine des rhinites allergiques ou des rhumes des foins, il y a cependant toujours une possibilité d’y échapper.
Si on met de côté les personnes ayant un terrain génétique favorable et qui ressortent d’un suivi et d’un traitement médical, ainsi que des causes comme les animaux domestiques ou encore les régions avec des productions de pollen, il devient alors possible de pousser plus loin la réflexion. Se poser des questions sur son mode de vie devient l’axe de recherche qui est, d’après les spécialistes, le principal responsable des allergies respiratoires. Il a en effet été constaté que l’obésité, le manque de vitamine, le tabagisme, le stress, l’enfermement prolongé dans une habitation non aérée, sans oublier la pollution automobile, sont des facteurs favorisants et aggravants…
Même si l’on peut contrecarrer relativement facilement ces allergies respiratoires, il faut, sans être alarmiste, les prendre en considération. Elles traduisent en « toujours » une mauvaise hygiène de vie qui sans être totalement néfaste. Mais elle provoque chez l’être humain, un affaiblissement de ses capacités de résistance voire même immunitaires, face aux petites agressions permanentes de l’environnement naturel ou artificiel.
Sur ce que vous soyez ici en Floride ou au Québec, je vous souhaite d’être heureux et en bonne santé!
